[Reecriture]_L_Effet_Papillon
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 8
Publié le 19/08/13 à 01:18:55 par Pseudo supprimé
- On tiendra pas longtemps!
- Les renforts doivent arriver sur Paris dans 5 Heures, à l'aube!
- On tiendras jamais jusqu'à l'aube!
- Je...
Un raclement de mitrailleuse se fit entendre. Des balles transpercèrent les crânes des deux français. Un boches, reconnaissable à son accent s'exclama :
- Il parlait d'une attaque pour dans 5 heures, à l'aube.
- Préparez vous, et défendez vos postes.
***
60 Years Before : Return At War... - Chapitre 7
***
J'étais embarqué dans un avion. Un petit coucou, un avion de transport, qui transportait une vingtaine de soldats.Des champignons noirs fleurissaient dans le ciel. Les DCA allemandes. 5 avions américains fendaient les airs, s'approchant de Paris. Une lumière rouge éclairait tout le cockpit, tandis qu'une petite ampoule verte s'allumait devant nous.
- Go, Go, Go !
Les soldats sautaient dans le vide, agrippant leurs parachutes. J'appréhendais mon tour, quand il vint. Je sautais de l'appareil, parachute fermé, l'air me décoiffait... Les soldats autour de moi ouvrèrent leurs parachutes et ralentissaient. Je les dépassais, et me rapprochais des immeubles. Je tirais sur les deux poignets, qui me tirèrent vers l'arrière, ralentissant ma chute.
- Bon, on nettoie la Capitale, d'un bout à l'autre, rien à rajouter!
Je laissais échapper un petit rire. Les boches avaient pris leurs MP5 pour nous canarder. Les parachutes se fendirent, laissant son pilote tomber jusqu'au sol, s'écrasant contre le bitume, au pied des ennemis. J'atterris en premier. Je saisis mon Colt, et tiras deux balles. Chacune se logea dans le ventre d'un allemands, qui s'effondrèrent. Je me prenais rapidement au jeu en fait... Je rangeais le Colt dans ma poche et saisit mon fusil d'assaut. Mes alliés commencèrent à courir, pour rejoindre le cœur de la ville. Tout les allemands rencontrées furent réduits à l'état de corps démembrés, et morts au milieu de la route dans une mare de sang... Les chars furent explosé par nos Bazooka... Quand j'aperçus la Tour Eiffel. Encore inachevé. Autour de moi, les balles fusèrent, les corps tombaient, les grenades claquèrent... Et on criait de joie en signe de victoire. Toutes les sections avaient nettoyés un bout de la capitale, pour se rejoindre au même endroit : le Centre. Les derniers allemands couraient hors de la ville...
[...]
- Vous avez fait du beau boulot, américains. Vous rentrerez tous chez vous décorez de quelques médailles... Sain et sauf. Mais avant, nous avons une dernière mission pour vous., déclara le Chef d'État Major français, dans son luxueux bureau.
- Quoi? Les virer hors de la France?
- C'est déjà fait. Ils détalent tous comme des lapins, pour rejoindre la frontière, et leurs pays. Tous ces enfoirés jusqu'au dernier foncent sur l'Allemagne et Berlin.
- On va bombarder Berlin?
- Les anglais ont déjà réquisitionnées une cinquantaine d'avions de chasse et de bombardement pour ce job. Berlin ne sera plus qu'un tas de ruines après ce bombardement, mais... Il faudrait trouver le Chancelier.
- En somme, vous nous proposer une Mission-Suicide? Pour trouver qui? Hitler? De toute façon, il sera mort...
- Pour son Procès devant le Monde entier...
- Oué, un procès pour cet enfoiré... On devrait le laisser crever sous les bombes...
***
Je contemplais la Tour Eiffel. Je n'entendais plus la voix qui résonnais dans ma tête. J'avais réussi à sauver le futur. A ne pas causer trop de dégâts. Alors pourquoi je ne revenais pas chez moi? En 2008? Avec les miens? J'étais peut-être mort dans l'accident...
On m'envoyais un papier pour que je le lise. Un papier tout froissé, jauni, avec des écritures mal imprimé à l'encre noire baveuse. J'en lit les grandes lignes.
"Dernière mission à Berlin : Trouver Adolf Hitler, le Chancelier de l'Allemagne."
J'avais pas terminé mes missions. Pas encore.
- Les renforts doivent arriver sur Paris dans 5 Heures, à l'aube!
- On tiendras jamais jusqu'à l'aube!
- Je...
Un raclement de mitrailleuse se fit entendre. Des balles transpercèrent les crânes des deux français. Un boches, reconnaissable à son accent s'exclama :
- Il parlait d'une attaque pour dans 5 heures, à l'aube.
- Préparez vous, et défendez vos postes.
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60 Years Before : Return At War... - Chapitre 7
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J'étais embarqué dans un avion. Un petit coucou, un avion de transport, qui transportait une vingtaine de soldats.Des champignons noirs fleurissaient dans le ciel. Les DCA allemandes. 5 avions américains fendaient les airs, s'approchant de Paris. Une lumière rouge éclairait tout le cockpit, tandis qu'une petite ampoule verte s'allumait devant nous.
- Go, Go, Go !
Les soldats sautaient dans le vide, agrippant leurs parachutes. J'appréhendais mon tour, quand il vint. Je sautais de l'appareil, parachute fermé, l'air me décoiffait... Les soldats autour de moi ouvrèrent leurs parachutes et ralentissaient. Je les dépassais, et me rapprochais des immeubles. Je tirais sur les deux poignets, qui me tirèrent vers l'arrière, ralentissant ma chute.
- Bon, on nettoie la Capitale, d'un bout à l'autre, rien à rajouter!
Je laissais échapper un petit rire. Les boches avaient pris leurs MP5 pour nous canarder. Les parachutes se fendirent, laissant son pilote tomber jusqu'au sol, s'écrasant contre le bitume, au pied des ennemis. J'atterris en premier. Je saisis mon Colt, et tiras deux balles. Chacune se logea dans le ventre d'un allemands, qui s'effondrèrent. Je me prenais rapidement au jeu en fait... Je rangeais le Colt dans ma poche et saisit mon fusil d'assaut. Mes alliés commencèrent à courir, pour rejoindre le cœur de la ville. Tout les allemands rencontrées furent réduits à l'état de corps démembrés, et morts au milieu de la route dans une mare de sang... Les chars furent explosé par nos Bazooka... Quand j'aperçus la Tour Eiffel. Encore inachevé. Autour de moi, les balles fusèrent, les corps tombaient, les grenades claquèrent... Et on criait de joie en signe de victoire. Toutes les sections avaient nettoyés un bout de la capitale, pour se rejoindre au même endroit : le Centre. Les derniers allemands couraient hors de la ville...
[...]
- Vous avez fait du beau boulot, américains. Vous rentrerez tous chez vous décorez de quelques médailles... Sain et sauf. Mais avant, nous avons une dernière mission pour vous., déclara le Chef d'État Major français, dans son luxueux bureau.
- Quoi? Les virer hors de la France?
- C'est déjà fait. Ils détalent tous comme des lapins, pour rejoindre la frontière, et leurs pays. Tous ces enfoirés jusqu'au dernier foncent sur l'Allemagne et Berlin.
- On va bombarder Berlin?
- Les anglais ont déjà réquisitionnées une cinquantaine d'avions de chasse et de bombardement pour ce job. Berlin ne sera plus qu'un tas de ruines après ce bombardement, mais... Il faudrait trouver le Chancelier.
- En somme, vous nous proposer une Mission-Suicide? Pour trouver qui? Hitler? De toute façon, il sera mort...
- Pour son Procès devant le Monde entier...
- Oué, un procès pour cet enfoiré... On devrait le laisser crever sous les bombes...
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Je contemplais la Tour Eiffel. Je n'entendais plus la voix qui résonnais dans ma tête. J'avais réussi à sauver le futur. A ne pas causer trop de dégâts. Alors pourquoi je ne revenais pas chez moi? En 2008? Avec les miens? J'étais peut-être mort dans l'accident...
On m'envoyais un papier pour que je le lise. Un papier tout froissé, jauni, avec des écritures mal imprimé à l'encre noire baveuse. J'en lit les grandes lignes.
"Dernière mission à Berlin : Trouver Adolf Hitler, le Chancelier de l'Allemagne."
J'avais pas terminé mes missions. Pas encore.
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